Ontils reellement invente internet avec la possibilite certes precaires compares a toutes les leurs mais « en reseau » de l’armee US ? Cette derniere estelle d’ailleurs infiltree avec des generaux bas du front qui tirent sur bien cela bouge ? Et une jeune fille aux gouts musicaux fort surs peutelle aussi etre un as d’une mecanique ?
L’ensemble des reponses dans une telle prequelle de la saga Transformers qui a bien du parcours initiatique Afin de Charlie, une ado qui peine a se remettre d’une mort de son pere (Spielberg reste producteur, le film tente une sorte de reinvention des Goonies en version plus adulte et plus technoide). Lasse de cohabiter avec le nouveau compagnon de sa mere et le petit frere, Charlie se refugie autant qu’elle le peut dans la vieille casse de son oncle. C’est la qu’elle tombe pour la toute premiere fois sur une Coccinelle qui possi?de tout d’une epave. Sa remise en etat pansera peu a peu les plaies en jeune fille, loin de s’imaginer que sous le tas de taule se cache un etre venu de adultspace sur pc l’espace, B127, capable de ressentir toutes ses emotions.
On s’attendait au pire, on avait tort. Frais et delicieusement vintage, Bumblebee laisse pour une fois un brin de cote les combats de coqs assourdissants pour se concentrer dans la relation entre 1 Autobot qui fait ses premiers gui?re maladroits sur Terre et une jeune femme un brin paumee dans le quotidien. Un parcours commun non denue d’humour et porte par une bandeson qui fait bien le sel de votre retrogaming Afin de petits et grands. Et meme si le film ecrit avec une femme n’evite pas les passages obliges un peu lourdingues (le dernier tiers), Bumblebee reste une bonne surprise, dans le genre.
N’ayant gui?re recu le disque BluRay livre dans le combo et contenant les bonus du film, impossible pour nous de des voir, donc de nos noter.
Belle surprise que cette prequelle a Notre saga Transformers culivant a J’ai fois un beau look retro (on est en 1984) et une brillance digne des meilleurs blockbusters du moment, faisant appel a chacune des sources lumineuses du film (eclairages, ecrans, reflets metalliques…) pour offrir un relief inedit et une lumiere incroyable. I propos des passages hyperfestifs comme celui en fete foraine, l’espace couleur etendu laisse exploser nos rouges, les roses et les bleus comme en enormement soleil, on se regale.
Le reste du temps, au sein d’une palette colorimetrique plus pastel mais forte en contraste, la carrosserie de Bumblebee et le jaune typique affichent une forme olympique (remerciements encore une fois au HDR Dolby Vision), rendant les transformations eclair de Bumblebee en Autobot assez bluffantes (et il n’y a jamais d’age pour s’extasier devant la prouesse technique assez jouissive, il faudra bien l’avouer…). Evidemment, nos CGI prennent presque bien l’espace dans ce cas mais un realisation et leur integration au cadre paraissent sublimes.
Rassurez-vous, le film prend aussi moyen d’evoluer en decors naturels sous le soleil de Californie pour donner plus de chair et de realisme a l’ensemble. Encore un coup, nos decors, comme des eclairages au passage, participent grandement au cote joyeux et decale du film, avec mention speciale pour domicile de Charlie et de ses parents, elegante et severement vintage.
Evidemment, la exactitude n’est pas un sujet discutable malgre le parti pris assume de traiter le film a la sauce Eighties.
On frole la perfection malgre un Digital Intermediate seulement 2K.
Aucun suspense inutile, la VF fera (vraiment) pale figure face a la VO Dolby Atmos aussi meme que les combats entre Decepticons et Autobots ne sont jamais reellement au centre du film. Que les amateurs se rassurent, ils auront un dose d’affrontement taule en derniere partie du film jamais la meilleure part Du Reste sans compter l’ouverture (vite expediee heureusement, expliquant l’arrivee de B127 sur Terre).
Car le gros kif sonore de la video, c’est bien sa musique et ses extraits musicaux de l’epoque (Duran Duran, The Smiths et consorts, sortez ce Shazam, il va chauffer…). Ils rythment toutes les sequences, qu’ils soient diegetiques (des personnages entendent la meme musique que vous) ou extradiegetiques (vous seul l’entendez), et donnent une couleur assez detonante dans l’univers des films touttechno. Une initiative qui tient dans toute la longueur et n’est nullement juste la Afin de passer moyen.
Musique ou combats, des enceintes paraissent a J’ai fete avec une dynamique qui fait plaisir a entendre et des basses qui depassent le cadre du film pour nos ados. Du serieux, du fun, d’une excellente musique, what else ?